…. un point de passage entre deux mondes. Plus puissants que les ponts qui permettent de voir les deux rives souvent très semblables, les cols laissent à peine deviner le monde que l’on va découvrir et crée une nostalgie dans notre regard pour celui que l’on quitte.
Avec cette nostalgie on se souvient que ce que l’on quitte perdure malgré notre désertion charnelle.
Une belle journée s’annonce et le froid de la nuit n’est plus qu’un souvenir. Même pas un mauvais souvenir. Vivre vivant!
Un rendez-vous bientôt dans la région! Préparez vos godillots ce sera pour lundi!
Des nouvelles dans le calendrier dès demain
Philosophe de bon matin! Belle photo!
Oh je marchais déjà depuis une heure quand j’ai pondu ceci.
D’ailleurs j’avais les idées bien fraîches et j’aurais du écrire
J’aime les cols… roulés !
Le matin au réveil m’était venu des pensées encore plus philosophes :
Ne pas confondre ma tente qui cartonne avec la gelée du matin avec ma tante fait un tabac avec sa confiture. …
Des idées fraîches je te dis 😉