Vadrouille partagée avec … juste moi.La vadrouille démarre de la gare d’Yvonand par 40 minutes de plat à travers la campgne et le long de la Menthue.Jusque sous le pont de l’autoroute.

Ensuite ça rigole moins. La pense se fait bien raide avec des escaliers. On monte ainsi sur plus de 200m de dénivelé avec l’autoroute en bruit de fond. J’avoue qu’à ce stade j’étais assez peu convaincue de ce choix de vadrouille.

Toutefois la forêt est belle et généreuse. Brusquement la pente et le bruit cessenr et le chemin s’ouvre sur un plateau cultivé, lumineux et agréable. On passe tout près de Rovray sans y entrer. Je trouve une petite fontaine ronde pour accompagner mon pique-nique avant de retrouver la forêt.

Quelqus montées, quelques descentes, des percées par dessus la gorge qui se fait profonde. Chavanne-Le Chêne et Chêne-Paquier reliés en fond de vallée par le Pont du Covet proche du vieux moulin du même nom.

J’ai ensuite croisé des copains, suivi des jolies sentes, sautillé dans les longues herbes avant d’entamer la descente au fond de la gorge qui fut à la fois épique et courte tellement c’était raide. Vive les escaliers et les bâtons.

J’ai zappé la Tour St-Martin pour éviter le déluge annoncé et pour me carapater pour me mettre à l’abri. C’est chose faite.

Chemin des ponts historiques du Sepey.

Chemin 140 du Suisse Mobile

Ce chemin nous fait traverser par deux fois la Grande Eau par deux ponts de pierre, celui de la Tine et celui des Planches autrefois les deux seuls passages avant la construction en 1913 du pont routier et ferroviaire.

Départ du Sépey

Ensuite direction Cergnat par une petite montée. On aime ce joli clocher et on découvre des sculptures.

Ensuite ça descend bien raide jusqu’au fin fond de la vallée. On débouche sur une plaine d’herbage et sur l’usine hydroélectrique de la région. Puis on traverse enfin ce premier pont. Le Pont de la Tine.

Direct ça se met à grimper. C’est raide mais un peu moins que la descente. On longe les rails du train. On est surprise de trouver des petites écuries et des prés exploités. On sent que l’endroit est humide mais pourtant de petites étendues d’herbage avec des tâches de soleil accueille des petits troupeaux.

Après avoir croqué un morceau le chemin reprend en pente presque douce et traverse les Planches puis le pont routier et ferroviaire qui pourrait nous mener directement au Sépey. Mais sans ménagement le chemin replonge dans la gorge sombre et profonde. C’est dans cette descente que surgit le pont des Planches dans le soleil.

Ce pont est à nouveau praticable depuis 2023. Il a été restauré avec talent et respect.

puis tranquillement nous avons rejoint la gare

Lac des Chavonnes

Le seul stress de la journée fût celui des billets de bus et de train, le site CFF ayant eu une panne qui nous a un peu compliqué la tâche. Mais si non, on peut dire que toute cette vadrouille était vraiment zen.

Ah non je ne dis pas que c’était hyper relax et qu’on n’a pas sué dans les grimpettes mais on a sué… sereinement.

On a choisit le bon sens de la boucle : le sens des aiguilles de la montre. D’abord le tour du Lac Bretaye puis celui des Chavonnes avant l’arrivée de la foule puis la grimpette qu’on a pu faire soit avant le pic-nic (Pierre, Isabelle et moi) soit après en admirant la fresque. (Mélinda et Grazyna).

Par contre on se rappelera du raccourci non balisé ! Nos souliers surtout ! Quelle papète!

A noter, que tous les télésièges sont en activité et que si vous n’êtes pas feru de marche vous pourrez profiter de tout sans transpirer. Montez à Bretaye, ça vaut la peine ! C’est très paisible et très beau. Très zen quoi.

Oh là là quelle bise ! La madelonade de la Tine, Suivez le guide dans les archives de l’agenda
De La Sarraz à Romainmôtier par la Tine de Conflens, avec Sylviane dans la bise et la bonne humeur.
Nous étions 2 : Sylviane et Pascale

Elle ne m’a pas surprise dès ma descente du train à La Sarraz car j’étais toute occupée à papoter avec un couple qui s’en allait par un autre chemin, voir les nivéoles.

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