Au huitième jour de mon voyage je me suis réveillée à l’aube. J’avais encore un peu sommeil mais la promesse d’une belle ambiance sur le Lac m’a tiré du lit sans peine.

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Au septième jour de cette escapade… j’engrange ma première semaine de voyage.

Cette fois, j’emmène mon carrosse tout bien rangé dans les montagnes neuchâteloises.

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Le sixième jour de mon voyage préopératoire se raconte très vite : il commence au bord du lac de Neuchâtel et se termine à Leysin. Entre les deux instants : quelques pas au bord de l’eau, un rendez-vous de physio, de la lessive, des courses, du rangement de carrosse et une bonne douche ! mais le meilleur de la journée c’était des gros câlins à Pompon ! Prête pour repartir demain matin ! Bonne nuit !

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Au matin du cinquième jour de mon périple préopératoire, j’ai ouvert les yeux sur un paysage totalement givré. Au propre comme au figuré.

L’enchantement était total.

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Ce quatrième jour de mon « voyage préopératoire » en minivan goûte étonnamment à peu près comme mes quatrième jour de périple à pied.

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Au troisième jour de mon voyage préopératoire je n’avais plus d’eau.

A peine restait-il une goutte au fond de ma gourde pour avaler ma médecine.

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C’est le matin du second jour de mon voyage préopératoire et je me réveille sous la neige. Je saute sur mes pieds comme si j’avais été frappée par foudre.

Je suis surprise et charmée. De la neige à 500m en avril ça arrive mais c’est pas banal. Surtout qu’on est en mars et en mars… ça repart. J’espère de pas faire un four, ça ne serait pas banal. D’autant plus que j’attends de nouvelles vadrouilleuses ! Alors, à l’impératif usons de formules, suivons l’adage et ne nous découvrons pas d’un fil.

Promenons-nous dans les bois, pendant que la foule n’y est pas!

J’enfiiiile mes bottes, j’enfiiile ma veste et mon bonnet. A pas de loup j’entre dans la forêt…

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