J’avais renoncé à ma Via Jacobi à l’envers. Sur le moment je me croyais découragée par la neige et le froid. En réalité le gris constant du paysage était bien plus à l’origine de ma lassitude que les éléments qui constituaient cette grisaille.
La perspective de voir cet arrêt comme un échec m’a travaillé et m’a fait travailler. Il s’est avéré, comme souvent, que c’est une addition de contrariétés qui poussent à l’abandon et rarement un évènement unique.