Depuis samedi mes vadrouilles se conjuguent au partage. C’était source de grandes satisfactions et de doux bonheurs. Des têtes à têtes avec Petit Rahan et Claudius au quintet de paires de godasses en brochette de luxe dimanche : Quel bien! Retrouver tous ces visages souriants et impatients de vadrouiller m’a mis du baume au coeur… et m’a lubrifié les rotules! Dans ma tête, c’était place aux chansons.
En ce mardi matin, le soufflet est retombé. Il est temps de faire chemin seule. J’ai besoin de réfléchir et de me concentrer. C’est difficile et je trouve mille prétextes pour ne pas être à mon affaire.
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