Je peux dire maintenant sans me mouiller, que la marche stimule la réflexion.
En ce premier mai 2015, j’écoute les gouttes qui tambourinent sur ma caravane avec des nuances à peine perceptibles tant elles rebondissent avec persévérance. Aucune idée ne vient égayer cette retraite quasi monacale.
Pourtant, il y a un an jour pour jour, la même pluie ne me retenait pas, décidée que j’étais à avancer dans ma ronde vaudoise. Alors La Madelon, cap ou pas cap?