Éclépens le 16 mars

Les vadrouilles de MadelonTous les textes
C’est le matin du second jour de mon voyage préopératoire et je me réveille sous la neige. Je saute sur mes pieds comme si j’avais été frappée par foudre.
Je suis surprise et charmée. De la neige à 500m en avril ça arrive mais c’est pas banal. Surtout qu’on est en mars et en mars… ça repart. J’espère de pas faire un four, ça ne serait pas banal. D’autant plus que j’attends de nouvelles vadrouilleuses ! Alors, à l’impératif usons de formules, suivons l’adage et ne nous découvrons pas d’un fil.
Promenons-nous dans les bois, pendant que la foule n’y est pas!
J’enfiiiile mes bottes, j’enfiiile ma veste et mon bonnet. A pas de loup j’entre dans la forêt…
Lire la suite deAu premier jour de mon voyage préopératoire, je me réveille pas très loin de chez mes parents. Au bord du lac, ou presque.
Lire la suite deLa Petite Sarraz des Jonquilles Suivez le guide dans les archives de l’agenda
De La Sarraz à Eclépens en suivant le pied du Mormont
Nous étions 4 : Isabelle, Oliver, Isabel et Pascale
Thème « vivre sans » de la Ligne de Coeur : la routine entre structure et ennui.
Toujours curieuse des discussions des grandes personnes que j’écoutais à leur insu, j’avais compris que la routine était l’ennemie du bonheur, qu’elle était ennuyeuse, fade et que pour les couples c’était un tue-l’amour. Dans les injonctions directes que je ne comprenais qu’à moitié, il était question de routines pour prendre le bon pli, de bonnes habitudes. Je me suis demandé pourquoi routines au pluriel étaient un bienfait et routine au singulier un tabou.
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